Un meurtre effroyable a été commis. Vous avez perdu l'un des vôtres, et les tueurs ne comptent pas s'arrêter là. Tenez-vous au courant de l'identité des victimes grâce à la rubrique nécrologique de la gazette. Et surtout, soyez très prudents.
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 hallelujah

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Rhett Siggers

Rhett Siggers

MURKY DAGGER► PSEUDO : Emmecie
► PRENOM : Marie-Chantale
► AVATAR : Aaron Johnson
► MESSAGES : 119
► CREDITS : Eylika
► POINTS : 209
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► AGE: vingt-trois ans
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MessageSujet: hallelujah   hallelujah EmptyJeu 31 Jan - 3:51

KATHERINE & RHETT
I'm writing a book. I've got the page numbers done
Aimer ce que l'on fait au point d'arriver au lieu où l'on bosse avant les heures d'ouverture pour simplement parfaire son art. Bien que la décision fut controversée et décriée en ces heures sombres, à Cascade Locks, on m'offrit tout de même de posséder un trousseau de clé afin de pouvoir entrer à l'église sans que je doive attendre qu'on vienne m'ouvrir, par beau et mauvais temps. Il faut dire que ce n'était pas particulièrement Rhett Siggers qui posait problème, mais son entourage immédiat : Adriel. Il faut dire que les gens adorent décrier le chasseur comme parfait coupable, alors que tout le monde sait que dans les émissions policières, le suspect le plus évident est toujours innocent. On m'a fait promettre de les mettre hors de sa portée - ce que j'ai franchement décrié - pour se dire ensuite que même le fils aîné Siggers n'aurait pas l'audace de venir faire une victime en ces lieux saints. Drôle de personnages, la communauté religieuse de Cascade Locks. Dans tous les cas, ça me permet de venir me retrouver tout seul, au milieu de ce lieu mystique, surtout quand on y est seul. Parfois, j'y amène ma guitare, un vieux carnet de cuir et une plume. Avec ma panoplie typiquement artistique, j'ai carrément l'air de venir d'un monde parallèle - peu de gens s'adonnent à des passe-temps aussi intello dans les environs, du moins pas ouvertement. Sous la lumière des vitraux magnifiques, assis sur le dernier banc, je gratte des notes pour mieux les entendre résonner dans l'enceinte majestueuse. Un bâtiment détonnant sur le reste, avec son architecture grandiose et le soin immaculé qu'on lui porte. Il faut dire que les tragédies présentes ramènent les brebis égarées, et que les donations sont nettement plus concrètes depuis le début des évènements...

Instrument sur le dos, soigneusement rangé dans un étui, je reste assis sur le perron de l'église. Il fait beau, le soleil daignant partager la chaleur de ses rayons avec les habitants de notre ville aujourd'hui. Aucun vent, simplement une frêle brise qui vient secouer les feuilles fatiguées qui tiennent encore sur leurs branches. Au lieu de joindre le prêtre pour dîner, j'ai préféré rester ici, dehors, bien au calme, à regarder s'agiter les gens dehors, certains passant tout près, me saluant, d'autres faisant mine de ne pas me voir. Amusant de voir comment les gens les plus méfiants sont habituellement ceux qui ont le plus à cacher. Comme cet homme, là, avec son nécessaire de pêche. Toujours à longer les murs, mais décriant tel ou telle personne après la messe du dimanche en qualifiant ses faits et gestes de très suspects. Je n'ai pas d'avis précis, je ne crois pas que cette chasse aux sorcières aide grandement les autorités qui sont chargées d'arrêter le meurtrier. Madame Hopkins s'arrête, celle qui travaille à la boulangerie, me tendant une brioche à la cannelle. Soit j'ai l'air miséreux, ou bien elle a apprécié mon air plus tôt dans la journée. La remerciant, je me relevais pour aller consommer mon bien à l'intérieur que je bouscule quelqu'un au passage. Une personne connue « Bonjour Kat ». Je lui adresse un sourire, passant une main dans mes cheveux. Typiquement Rhett, ce malaise instantané quand on s'adresse à la gente féminine « On vient se faire entendre à la confesse ou on a été attirée là par mes airs de mendiant? ».
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Katharine

Katharine "Kat" Woods

MURKY DAGGER► PSEUDO : REDPIX.
► PRENOM : LOÏC.
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► EMPLOI: Professeur de langues vivantes. (Espagnol & Français)
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MessageSujet: Re: hallelujah   hallelujah EmptySam 2 Fév - 15:53

Hallelujah

Avant même de rejoindre Cascade Locks pour m’occuper de ma grand-mère le temps qu’elle puisse se débarrasser de son cancer du sein j’avais entendu parler d’une série de meurtres tous plus sanglants les uns que les autres. Tous avaient eu lieu dans la forêt, c’est en tout cas là-bas que les corps avaient été retrouvés et je ne m’étais donc pas trop aventurée dans les endroits trop isolés de la ville depuis mon retour. Certaines des victimes étaient des connaissances, à l’époque de mon adolescence j’étais très appréciée dans le coin et je me souvenais donc de quelques visages, c’était triste pour eux et j’espérais vraiment que la police parviendrait à mettre la main sur ce fou-furieux qui traquait de plus en plus de monde. C’était l’un des motifs qui me donnait envie de convaincre Alma Woods, ma grand-mère plus attachée à cette ville que jamais, de foutre le camp une fois que sa maladie serait complètement traitée, nous pouvions partir à New-York, la ville dans laquelle j’habitais depuis huit longues années mais elle ne semblait pas décidée. Bien au contraire, nous évitions de plus en plus ce sujet et jusqu’à ce qu’elle ne se soit décidée à me suivre je ne comptais pas partir d’ici, savoir ma grand-mère probablement en danger à cause d’un psychopathe ne me rassurait pas, je préférais prendre des risques en gardant moi-même un œil sur elle quitte à finir par être l’une des victimes à mon tour. Oh et puis, maintenant que j’avais un emploi titularisé dans le lycée du coin je n’avais plus vraiment de quoi me plaindre d’être ici, je me sentais mieux que je n’aurais voulu l’admettre dans cette ville.

Le fait de rester ou non en ville n’était pas le seul sujet de conversation qui menait à une série de débats, non, il y en avait un aussi simple que stupide. N’étant plus vraiment croyante et encore moins pratiquante depuis une bonne dizaine d’années je devais pourtant accompagner parfois ma grand-mère à l’église, elle savait que je n’aimais pas être dans des lieux saints dans lesquels on prêchait la bonne parole sans rien savoir de ce qui nous entourait réellement et pourtant, parfois elle tâchait de me faire apprécier les messes, elle chantait d’ailleurs dans la chorale, parfois elle avait même des solos de gospel ce qui me faisait toujours sourire, elle avait une sacrée voix qu’elle aurait pu exploiter professionnellement dans sa jeunesse mais elle n’en avait rien fait, déjà bien assez riche selon ses propres propos pour encore s’enrichir. Aujourd’hui je n’étais pas à l’église mais je savais que ma grand-mère y était pour faire quelques prières, non seulement pour elle mais aussi pour les habitants de la ville, elle était chaque fois un peu plus touchée par les meurtres qui concernaient des gens qu’elle connaissait depuis longtemps. Elle était un peu la petite vieille que tout le monde appréciait en ville, elle avait toujours fait des dons astronomiques à la ville, aux entreprises du coin pour que la crise ne les atteignent pas. Le cœur sur la main quoi ! Arrivant devant la bâtisse je repérais Rhett le frère d’Adriel, approchant d’un pas nonchalant il me repérait très rapidement. « Bonjour Kat » Je lui adressais un simple sourire le rejoignant après avoir monté quelques escaliers. « Salut petit Siggers. » Okay, je le connaissais depuis notre plus tendre enfance mais il avait énormément grandi en huit ans, à l’époque Adriel était mon meilleur ami rappelons-le. « On vient se faire entendre à la confesse ou on a été attirée là par mes airs de mendiant? » Je souriais amusée répondant du tac au tac. « Je comptais te donner une petite pièce pour que tu puisses t’acheter un sandwich mais… Maintenant que tu vois clair dans mon jeu je vais te laisser galérer encore un peu. » Je gloussais, je plaisantais bien-entendu. « Plus sérieusement… Je viens chercher ma grand-mère, elle devait logiquement venir allumer un cierge d’après ce qu’elle m’a dit. »



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MessageSujet: Re: hallelujah   hallelujah EmptyDim 3 Fév - 20:35

KATHERINE & RHETT
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Il n'arrivait pas souvent qu'on parvenait à savoir avec qui Adriel fricotait, depuis qu'il était gamin, il était plutôt peu enclin à partager ses camarades de jeu, voire même à se proposer à les présenter à son cadet. Ce n'était pas de l'égoïsme, du moins je ne l'ai jamais considéré de ce côté-là, mais simplement une manière de séparer son existence entre cette dynamique familiale des plus dysfonctionnelles de cette réussite sociale où il parvenait à envoûter, sans nécessairement faire des flafla, la moindre personne qui savait attirer son attention. C'était ce qui s'était produit avec Katharine Woods, l'une des seules qui s'était donné la peine de considérer l'existence du petit frère effacé du seul, du grand, de l'unique Adriel Siggers. En soit, Kat avait de quoi en effrayer plusieurs, ce n'était pas tous les jours qu'on se permettait de secouer Adriel et de lui répondre du tac au tac. Il n'inspirait pas la peur, mais le respect, et ça commençait souvent par acquiescer à chacun de ses faits et gestes. Pas elle. Elle, elle se tenait debout, et je soupçonne que ce soit la raison qui a jamais fait qu'elle reste une constante dans la vie de mon aîné, lui qui avait plutôt la réputation de s'entourer de relations volatiles qui disparaissaient dès qu'il avait le malheur de s'ennuyer ou de perdre son intérêt. J'envie cette facilité déconcertante que possède Adriel de se faire aimer et envier, sachant que j'ai eu toujours du mal à me faire accepter et respecter. Il était plus facile de s'en prendre au frêle, délicat et au caractère pratiquement autistique du plus jeune des Siggers qu'à l'autre. Je ne lui en veux pas pour ça non plus, après tout, s'il a su se démarquer aussi rapidement et aussi jeune, c'est qu'il en a suffisamment baver à la maison pour que ça ne se répercute sur les autres pans de l'existence. Adriel a tout accusé, tout encaissé, rien que pour m'éviter de me faire boire la tasse. Si seulement je savais comment lui signifier vraiment à quel point je regrette de ne pas avoir su prendre ma part, quitte à prendre des raclées à sa place, juste pour lui répéter un jour que je partage sa tare, et que je sais ce qu'il a endurer. Mais ce n'est pas le cas, et y'a pas une putain de journée qui passe sans que j'en culpabilise...

« Salut petit Siggers ». Je lui adresse un sourire, me redressant au même moment, la dépassant d'une bonne tête. Je ne m'offusque pas de l'appellation qui me suit depuis l'enfance, considérant un peu Kat comme partie intégrante de cette drôle d'enfance que j'ai pu vivre, à Cascade Locks, avec tout ce qui vient avec. Ma main se referme autour de la brioche encore tiède, le sucre tachant mes doigts, alors que je la tripote alors qu'elle reprend la parole, répondant avec un ton amusé à mes propos « Je comptais te donner une petite pièce pour que tu puisses t’acheter un sandwich mais… Maintenant que tu vois clair dans mon jeu je vais te laisser galérer encore un peu ». Je souris, lève les épaules, faussement résigné « Très bien, je ferai mes preuves pour mériter ma monnaie, t'inquiète pas pour ça ». Quelle excellente blague, je veux dire, y'a pas moyen que je me montre suffisamment persuasif pour extorquer la moindre cent à qui que ce soit, et encore moins à quelqu'un qui me connait aussi bien qu'elle. Ou à un tout autre elle qui existe dans les environs, c'est que la poisse du mystère entier que sont les femmes à mes yeux est encore entier. Je laisse courir « Plus sérieusement… Je viens chercher ma grand-mère, elle devait logiquement venir allumer un cierge d’après ce qu’elle m’a dit. ». Je fronce les sourcils, cherchant à savoir si j'ai vu la matriarche Woods derrière les portes de l'église. Je réalise que j'ai, encore une fois, fait attention à rien, elle a tout aussi pu me dire bonjour que je n'ai pas réalisé ce qui se produisait. Maudit soit ce tempérament rêveur qui me laisse toujours à la bourre « J'ai pas fais attention, c'est possible qu'elle soit à l'intérieur après tout ». Brioche en main, je laisse planer un court silence avant de rétorquer « Je t'accompagne à l'intérieur si tu veux, ce serait pas malin de te laisser filer comme ça, si vite, sans en profiter encore un peu ». Un sourire léger me vient aux lèvres, me sentant carrément naze, mais préférant ne pas relever le pitoyable plaidoyer que je lui offre. Rhett le paumé qui se cherche de la compagnie, c'est vraiment horrifiant d'être aussi incapable en société « Je te croise plus très souvent, qu'est-ce que tu deviens? ».
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MessageSujet: Re: hallelujah   hallelujah EmptyLun 18 Fév - 21:02

Hallelujah

Adriel et moi étions devenus amis à notre plus tendre enfance. Certes il était plus vieux que moi mais jamais ça n’avait été un frein à notre relation pour la simple et bonne raison que je m’étais toujours montrée très mature pour mon âge. Je me souviens que ma grand-mère était à l’époque constamment inquiète à l’idée que je puisse vivre mes premières expériences sexuelles alors que je n’étais pas âgée de plus de quatorze années et lui était à l’aube de ses vingt ans. Pour certains c’était une grosse différence mais entre nous c’était une force, quelque chose que personne ne comprenait et qui faisait peur. En y repensant j’avais bien été la seule de qui il ne s’était jamais désintéressé toutes ces années, entre nous il y avait eu énormément de passion amicale, puis de l’ambiguïté et surtout beaucoup de proximité. C’est moi qui avait en quelque sorte brisé tout ça en quittant Cascade Locks pour suivre mes bourgeois de parents jusqu’à New-York pour y terminer mes études une fois âgée de dix-sept ans. Cette séparation avait été très difficile pour moi, j’étais amoureuse de lui et j’avais volontairement pris cette distance pour me sortir de cette spirale, je faisais un pas et il reculait, lorsqu’il avançait c’est moi qui reculait et j’étais épuisée de cette situation. Au final faire un trait sur cette histoire avait été très délicat, au final je dirais même que je n’y étais jamais vraiment arrivé, il resterait mon premier amour même si jamais rien ne s’était produit entre nous. Passons, maintenant que j’étais de retour nous étions repartis dans une optique mieux définie, notre amitié reprenait là où elle s’était arrêtée signe que nous étions vraiment tous les deux faits pour nous côtoyer. C’est par l’intermédiaire d’Adriel que j’avais d’ailleurs découvert son petit frère, les autres n’y faisaient pas attention mais moi j’accordais beaucoup d’importance à ce qui pouvait être considéré comme un détail, étant proche de son grand-frère je m’étais intéressée à sa vie et c’est donc ainsi que j’avais connu le petit Siggers comme je le surnommais, en réalité il n’était pas plus jeune que moi, seulement deux ans de moins. A l’époque nous échangions toujours un peu mais sans trop se voir non plus, logique puisque je trainais souvent avec Adriel et non pas dans l’objectif d’être avec son frère. Au final c’est seulement aujourd’hui que notre relation prenait un tournant plus sympathique.

Marchant tranquillement pour rejoindre ma grand-mère devant l’église afin que nous puissions rentrer même si elle n’avait pas besoin d’un chauffeur comme elle le disait si bien je tombais donc par hasard sur Rhett, lui adressant un petit sourire je n’hésitais pas à l’appeler par son surnom, je me doutais que ça ne le dérangeait pas, je l’espérais en tout cas mais il n’avait jamais rien à ce sujet je tirais donc mes propres conclusions, il se serait forcément manifesté un jour si le fait d’être appelé petit Siggers l’embêtait. Je le taquinais sans me démonter sur le fait qu’il puisse avoir des airs de mendiant, je n’étais pas sérieuse, il avait tout sauf l’air d’être un clochard. Il souriait, signe qu’il était prêt à poursuivre cette conversation au second degré. « Très bien, je ferai mes preuves pour mériter ma monnaie, t'inquiète pas pour ça » Il savait être marrant, peut-être même parfois plus que son frère qui pouvait paraitre froid, il fallait le connaitre pour savoir que derrière cet air de bad boy était dissimulé un mec super gentil, touchant et qui aidait son prochain. « Mais tu as déjà eu du succès aujourd’hui non ? » Je faisais référence à ce qu’il tenait entre ses mains. Je lui explique ensuite ce que je cherche en venant ici, non je ne venais définitivement pas prier, ce n’était clairement pas mon truc. « J'ai pas fais attention, c'est possible qu'elle soit à l'intérieur après tout » Il ne savait donc pas si elle était à l’intérieur, tant pis j’irais faire un tour pour voir si elle y était toujours ou non. « Je t'accompagne à l'intérieur si tu veux, ce serait pas malin de te laisser filer comme ça, si vite, sans en profiter encore un peu » Je souriais, ainsi il voulait profiter de moi ? Une bonne idée et je pense bien-sûr sans avoir la moindre idée coquine derrière la tête, bah quoi ? On est devant une église après tout, ce serait blasphème d’avoir des pensées impures. « Bonne idée, tu as de la chance d’être de bonne compagnie. » Je lui tirais la langue montant encore quelques marches pour arriver devant la porte d’entrée de l’église. « Je te croise plus très souvent, qu'est-ce que tu deviens? » Je me demandais s’il avait été mis au courant de mon départ par son frère, je ne l’avais dit à personne à part lui et ma grand-mère bien entendu. « C’est normal, je suis de retour en ville depuis un peu moins d’un mois. Tu n’étais pas au courant de mon départ ? »



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