Un meurtre effroyable a été commis. Vous avez perdu l'un des vôtres, et les tueurs ne comptent pas s'arrêter là. Tenez-vous au courant de l'identité des victimes grâce à la rubrique nécrologique de la gazette. Et surtout, soyez très prudents.
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 love the way you lie (ARTHUR/AZENOR)

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Azenor D'Aragon

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MessageSujet: love the way you lie (ARTHUR/AZENOR)   love the way you lie (ARTHUR/AZENOR) EmptyMar 29 Jan - 20:54

love the way you lie.

That was yesterday, yesterday is over it's a different day, sound like broken records, playin' over but you promised her : next time you'll show restraint, you don't get another chance 'cause life is no Nintendo game but you lied again...

Ta journée n'avait pas bien commencer, t'as été à cran toute la journée parce que tu n'avais pratiquement pas dormis, t'as attendu qu'il rentre et comme d'habitude il est rentré ivre mort, enfin ça c'est ce que tu préfère te dire. Tu te sens horriblement seule quand il n'est pas près de toi, t'es une solitaire mais Arthur est le seul être avec qui tu pourrais rester enfermée dans une cave sans devenir folle. Vous n'avez plus d'eau chaude depuis deux jours, t'as dormis deux heures et t'as pris une douche froide dès le réveil alors que monsieur ronflait comme un ogre, ce qui t'avais arraché un sourire mais un bref instant, tu es fâchée contre lui. Tout était froid aujourd'hui, l'atmosphère elle-même était tendue. Bref, les enfants étaient déchaînés aujourd'hui et ils t'ont fait un peu la misère, c'est seulement une heure avant de terminer le travail que ton horrible migraine disparut, après de multiples prises de cachets. T'as finis par rentrer, tu savais que ça n'irait pas à la maison, comme souvent ces temps-ci, tu étais en colère contre toi-même parce que tu t'en voulais d'être fâchée avec lui. La télévision était allumée, une odeur de marijuana avait envahit le salon et un énorme nuage de fumé s'était formé dans le salon et l'entré. Au moins tu sais qu'il est réveillé et à la maison. Tu accroches ton manteau dans l'entré et pose bruyamment ton sac sur la table près de l'entré, tu signale ta présence mais tu ne décroches pas un mot. Tu vaques à tes occupations dans la cuisine, faire la vaisselle, le rêve de toutes les femmes alors tu souffles. Tu te diriges près du comptoir qui sépare la cuisine du salon-salle à manger, tu prends appuie dessus et tu inspires profondément, l'appelle par ton surnom favoris, le tout en prenant une voix douce « Chat, tu n'as pas fais la vaisselle ? » mais devant son manque de réactivité, sûrement trop absorbé par la télévision il ne te réponds pas. Tu as pris sur toi pour lui parler d'une voix fluette, être calme, tu voulais être gentille mais là c'est la goutte de trop. Tu fulmines et te dirige comme une flèche vers la télévision dont tu débranches le cable d'alimentation. « Maintenant que j'ai ton attention... » tu lâche la prise et te diriges vers lui d'un air sérieux, gardant ton calme le plus plat. « Qu'est-ce que t'as fait aujourd'hui ? »


Dernière édition par Azenor D'Aragon le Jeu 31 Jan - 20:39, édité 1 fois
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Arthur Galloway

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MessageSujet: Re: love the way you lie (ARTHUR/AZENOR)   love the way you lie (ARTHUR/AZENOR) EmptyJeu 31 Jan - 17:10

Tu n'avais rien fait de ta journée. Cela ne changeait toutefois pas de tes habitudes. Tu n'avais jamais été le genre d'homme à posséder un emploi fixe. Tu n'avais jamais fait d'étude et salir tes dix doigts n'était pas à l'ordre du jour. Tu étais ainsi, capable du pire mais pas vraiment du meilleur... En cette journée tu n'avais rien fait de bien intéressant. Tu t'étais contenté de t'affaler sur le divan et de regarder un programme débile. Tout ce qui t'intéressait c'était le petit joint que tu avais dans la main droite. Cela te faisait tout oublié et surtout tout ce qui te mettait hors de toi. Tu ne pensais à rien et cela te suffisait amplement. Tu étais presque arrivé à bout de ton stock mais tu n'en avais jamais assez. Chez toi c'était un besoin perpétuel que tu devais combler dans les plus brefs délais. Tu n'étais pas un saint, tu étais simplement un accro à ce bonheur éphémère que tu donnais chaque bouffée. Tu désirais quelque chose d'un peu plus fort, de quoi te faire perdre totalement la tête. Tu savais que si elle te trouvait avec cela, elle en serait plus que dévastée. Tu n'en voulais pas beaucoup, simplement une toute petite quantité qui te ferait décollé et retomber avant son retour. Le jour de votre arrivée, tu tétais trouvé une cachette où elle ne pourrait jamais mettre les pieds. Tu avais choisi la partie détachable de la toilette. Personne ne penserait à regarder-là et surement pas elle. Tu savais qu'elle ne fouillerait pas sauf si elle avait des soupçons. Elle en avait surement parce que tu te comportais comme un sombre crétin. Tu la prenais pour une conne en lui faisant croire que tu ne prenais plus d'héroïne que ce tu consommais de plus fort c'était simplement un peu de marijuana. Tu ne savais pas pourquoi elle tolérait cette drogue-là et pas une autre ? Peut-être parce qu'elle en fumait aussi ou tout simplement parce que c'était moins fort. Tout ce qui comptait c'était de te vider la tête avant son retour. Tu t'étais rendu jusqu'à la salle de bain pour aller chercher ton bien. Tu avais soulevé ton endroit secret mais tu n'avais rien trouvé. Tu n'avais pas compris ! La colère s'était emparée de toi ! Non, ce n'était pas possible ! Elle n’avait pas pu toucher à tes affaires… Tu ne comprenais pas pourquoi elle avait fait cela. Tu n’allais pas laisser les choses se passer de la sorte. Tu avais commencé à fouiller la salle de bain. Il fallait que tu trouves ta drogue, tu en avais totalement besoin… Tu le désirais plus que tout au monde… Tu avais tout fouillé et tu avais trouvé quelque chose… Pas ce que tu désirais… Devant toi se trouvait une plaquette de pilules ! Sa plaquette de pilules ! Le souci, c’est qu’elle n’était pas dans l’armoire à pharmacie, elle l’avait cachée comme si tu ne devais pas le découvrir. Pourquoi avait-elle fait ça ? Pleins d’idées arrivaient dans sa tête mais toutes se résumaient en un point : un bébé. Elle voulait un bébé ! Dans son dos ! Elle ! La rage s’était emparée de toi et tu n’avais aucun moyen de la combler. Tu étais prisonnier de ta demeure tant qu’elle ne reviendrait pas. Reprenant ta place dans le fauteuil, tu entamas le stock de marijuana d’Azenor tout en s’abrutissant devant la télévision. Combien d’heures étaient passées ? Tu ne le savais pas et cela lui importait peu... Tu ne voulais pas la regarder ni même lui parler. Tu étais énervé contre elle et contre ce qu'elle avait fait dans ton dos. Tu n'allais pas l'accueillir les bras ouverts. « Chat, tu n'as pas fais la vaisselle ? » Elle t'avait appelé par ton surnom mais cela ne changeait rien à la situation... Elle t'avait menti et délibérément... Alors, tu ne voulais pas lui répondre ni écouter ce qu'elle avait à te dire. Tu ne faisais que rarement la vaisselle et jamais quand tu étais de mauvaise humeur... La télévision s'éteignit et tu remarquas enfin qu'elle était là... Ce n'était pas pour ton plus grand bonheur et tu le lui fis immédiatement comprendre par ton regard noir. « Maintenant que j'ai ton attention... » Elle se dirigea vers toi mais tu ne voulais pas la voir, pas après ce que tu avais découvert. Tu essayais de garder ton calme mais cela devenait de plus en plus compliqué au vu de la situation. « Qu'est-ce que t'as fait aujourd'hui ? » Là, s'en était trop ! Tu ne pouvais t'empêcher de lui dire ce que tu avais sur le coeur ! Tu allais cependant commencé en douceur pour lui faire comprendre la bêtise qu'elle avait bien pu faire. « Oh, rien, j'ai juste rangé un la salle de bain... » Tu t'étais levé et avec violence, tu avais jeté la plaquette de pilules sur la table... « Et regarde ce que j'ai trouvé... Tu allais me le cacher encore longtemps ! Tu voulais faire un bébé derrière mon dos ! Putain Az mais qu'est ce qui t'a pris... » Il avait crié chacun de ses mots. Il voulait lui faire comprendre qu'il n'appréciait nullement la situation...
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MessageSujet: Re: love the way you lie (ARTHUR/AZENOR)   love the way you lie (ARTHUR/AZENOR) EmptyJeu 31 Jan - 19:11

love the way you lie.

« Oh, rien, j'ai juste rangé un la salle de bain... » ton cœur avait cessé de battre, ou bien il s'était accéléré, quoi qu'il en soit tu étais mal à l'aise. Pourquoi s'était-il mis en tête de faire la salle bain et à tous les coups e serait la salle de bain du haut. Qu'elle merveilleuse idée tu as eu de cacher ta plaquette de pilules contraceptives sous l'évier, il faut dire que a ne te serais jamais venue à l'idée qu'il se mette à faire le ménage dans la salle. Tu conserve malgré tout ton calme et n'affiche pas la panique que tu ressens, tu reste calme mais il se lève et jette sur la table l'arme du crime « Et regarde ce que j'ai trouvé... » tu sursautes et tu lèves les yeux vers lui, tu te sens coincée, tu te sens coupable, tu te sens mal. « Tu allais me le cacher encore longtemps ! Tu voulais faire un bébé derrière mon dos ! Putain Az mais qu'est ce qui t'a pris... » il n'est pas tendre avec toi, il crache ces mots et t'aboie dessus, signe de son mécontentement. Tu ne t'étais pas préparée à cette éventualité, tu ne pouvais pas savoir qu'il découvrirait « le truc » avant que tu ne tombes enceinte, ton cerveau marche à toute vitesse, comptais-tu réellement lui imposer ce choix sans même lui en avoir parlé. Tu croises les bras et tu inspires, tu baisse ton regard sur le sol un instant « Ne commences pas s'il te plaît. » souffles-tu, tu le supplie presque. Ce n'est pas ce soir que le calme régnera dans la maison et tu le sais, tu sais qu'il n'a aucunement rangé la salle de bain, monsieur à fouiner pour tu ne sais quelle raison, mais il l'a fait et ça te chiffonne, tu te sens encore plus coupable. « Arthur, je te vois de moins en moins, tu rentres de plus en plus tard... J'en suis au point où j'attends avec impatience que ma mère me téléphone ! » t'exclames-tu, on entends l'énervement dans ta voix, ça et la tristesse parce qu'il te manque. Serais-tu en train de perdre ton sang froid ? Tu tentes de lui faire comprendre combien la solitude te pèse, combien il te manque mais il ne semble rien vouloir comprendre. Pourquoi faut-il toujours qu'il interprète les choses à sa façon ? Tu passe tes cheveux derrière tes oreilles et tu prends ta plaquette de pilules que tu gardes dans la main, un court silence s'installe entre vous et plus le temps passe, plus ta gorge se serre. « J'ai tout ce putain d'espace à remplir, moi ! » tu as gesticulé, ouvrant les bras pour lui faire comprendre. « Et je sais qu'on est couverts de fric que que c'est supposé être génial mais ça ne l'est pas ! » as-tu ajouté sur le même ton, tes nerfs commencent à te lâcher et tu perds légèrement le contrôle de toi-même. D'un geste simple mais violent tu lui as jeté ta plaquette « à la figure » avant de bousculer une chaise de la même manière. Tu tentes de fuir mais il te retiens, tu retiens tes larmes, tu refuses de te montrer faible. « Je me sens si seule ici, tu me manques tellement... » tu te défais de son emprise et tu le pousses en fronçant les sourcils « Mais t'es trop occupé pour le voir ! T'es trop occupé à je ne sais quoi pour voir que j'ai besoin de toi ! » tu l'as bousculé à plusieurs reprises, les yeux humides. Comme pour le narguer, juste pour le plaisir de le faire fulminer tu as ajouté « J'essaye de tomber enceinte depuis maintenant près de six mois et je ne t'en ai pas parlé parce que je savais que tu réagirais encore comme un abrutis ! » tu ne pensais pas ces mots, tu voulais juste que lui y croit, pour lui faire mal, pour le secouer, le faire réagir.
C'est en venant vous installer ici que tu as saisit le sens de cette phrase : « l'argent ne fait pas le bonheur. »

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Arthur Galloway

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MessageSujet: Re: love the way you lie (ARTHUR/AZENOR)   love the way you lie (ARTHUR/AZENOR) EmptySam 2 Fév - 15:04

Tu voulais la confronter avec ce qu’elle avait fait. Tu avais vu cette plaquette et ton sang n’avait fait qu’un tour… Elle t’avait menti… Elle avait délibérément caché qu’elle voulait te faire un enfant dans le dos… Tu ne l’avais pas supporté. Toi, du haut de tes vingt-huit ans, tu étais incapable de devenir père. Tu ne te sentais d’abord pas très prêt pour cette aventure mais tu n’en avais pas non plus l’envie. Tu n’étais pas né dans la famille la plus aimante de la terre… Ils t’avaient jeté en enfer parce que tu n’étais pas comme ils le désiraient. Tu n’avais jamais vraiment vécu l’amour d’un père. Tu ne savais rien sur ce rôle mais tu étais certain que ce n’était pas pour toi. Tu étais trop instable, trop violent, trop égoïste pour penser rien qu’un instant à t’occuper d’un petit bout de chou. Tu n’avais jamais vraiment apprécié les enfants. Tu les supportais mais ils n’étaient pas ta tasse de thé. Tu espérais de tout ton cœur qu’elle n’était pas encore tombée enceinte. En entendant son retour, tu avais ressassé toutes les fois où vous aviez couché ensemble. Il te semblait que vous n'aviez jamais oublié le préservatif, du moins tu l'espérais. Que ferais-tu si elle était déjà enceinte ? Tu n'en savais rien... Tu ne voulais pas y penser parce qu'elle te dégoûtait de l'avait fait dans ton dos... Tu avais la clé les pilules sur la table pour la mettre face à sa bêtise... Tu lui en voulais et tu lui faisais comprendre. Tu t'étais énervé et tes propres n'avaient rien d'aimant. En agissant de la sorte, elle t'avait trahi... Elle était descendue dans ton estime et tu te demandais depuis combien de temps te cachait-elle la vérité. Pauvre idiot, tu ne réfléchissais pas que toi aussi tu lui mentais mais ce n'était pas pareille. Parce que tu n'étais pas un ange mais qu'elle oui, du moins bien plus que toi... « Ne commences pas s'il te plaît. » Commencer quoi ? C'est elle qui a tout fait, c'est de sa faute si tu es totalement énervé à ce moment précis... Elle l'a cherché en te mentant délibérément sur un sujet qui te semble si sérieux. Ton sang commence à bouillir dans chaque cellule de ton corps.... Tu sais que ton calme peut se rompre à tout instant. Il suffit d'un mot, voir d'un geste pour que tu exploses. « Arthur, je te vois de moins en moins, tu rentres de plus en plus tard... J'en suis au point où j'attends avec impatience que ma mère me téléphone ! » Elle est énervée et tu entends chacun de ses arguments. Tu les comprends, tu les assimiles mais tu ne changeras pas.... Parce que tu n'en as pas envie parce que cela ne servirait à rien. Tu 'es pas capable de changer et rien ne peut arranger les choses. Tu es venu ici parce qu'elle voulait que tu changes mais ce n'est pas pour toi. Tu ne peux arrêter la drogue. Tu te sens parfois fou enfermer ici toute la journée mais tu ne veux pas te trouver un véritable travail. Tu es seul parfois et même avec elle, tu te sens parfois seul... Parce que vous passez votre temps à vous disputer, parce que vous vous aimez mal mais rien ne peut changer cela. « J'ai du boulot au bar...Tu bosses la journée, moi la nuit, ce n'est toute de même pas de ma faute si nos emplois du temps ne s'accorde pas ! Si cela te dérange tellement prend un autre animal ou une amie de compagnie pour tes soirées en solitaire ! » Tu criais à ton tour et tu t'inventais un tas d'excuses. Si tu n'étais pas là c'est parce que tu ne savais pas rester ici, parce que tu finissais toujours par t'énerver contre elle. Alors, tu préférais ne pas revenir. Qui plus est, tu avais besoin de toute la nuit pour te défoncer à ton aise... Elle voulait que tu arrêtes mais c'était impossible alors, tu lui mentais pour que votre relation fonctionne pour qu'elle ne s'inquiète pas inutilement. Tu étais accro et ce n'était pas l'environnement qui allait changer cela... Le silence se fait. Tu n'oses pas la regarder dans les yeux parce que tu ne sais pas ce que tu vas-y trouver. « J'ai tout ce putain d'espace à remplir, moi ! » Tu ne l'écoutais plus que d'une oreille. Elle allait te sortir un grand discours qui n'allait surement pas te plaire. Parce que tu ne comprenais rien à ses envies de femme. C'était pour toi un total charabia. Tu avais l'impression qu'un vide existentiel l'habitait mais tu étais bien incapable de l'aider.« Et je sais qu'on est couverts de fric que c'est supposé être génial mais ça ne l'est pas ! » Tu lui avais offert une maison, tout ce qu'elle pouvait désirer et tu ne comprenais pas ce qu'elle désirait de plus. Elle te fit toutefois remarquer son désaccord en te lançant la plaquette en plein visage. Ton sang ne fait qu'un tour. Tu la vois partir mais tu lui cours après parce qu'elle ne va pas s'en tirer ainsi pas après ce qu'elle vient de faire. « Tu es totalement malade ! » Tu arrives enfin à la rattraper et tu serres avec force ses poignets. Non, elle ne partirait pas... « Je me sens si seule ici, tu me manques tellement... » Tu ne la comprends pas... Comment peux-tu lui manquer alors que tu es là ? Elle perd la tête mais elle arrive pourtant à se détacher de ton emprise. Elle te pousse et la colère continue de monter en toi.Tu veux en placer une mais elle reprend déjà la parole. « Mais t'es trop occupé pour le voir ! T'es trop occupé à je ne sais quoi pour voir que j'ai besoin de toi ! » Elle te lance un charabia totalement incompréhensible. Parce que tu ne vois pas en quoi tu pourrais l'aider davantage. Tu n'as jamais été le prince charmant, tu n'as jamais agi avec elle comme tu aurais dû le faire. Tu ne savais pas aimer et ton comportement le prouvait chaque jour un peu plus. Ta colère s'agrandissait à force qu'elle te bousculait. Elle te cherchait, il n'y avait pas d'autres explications mais ce n'était pas encore fini... Elle se remit à parler. « J'essaye de tomber enceinte depuis maintenant près de six mois et je ne t'en ai pas parlé parce que je savais que tu réagirais encore comme un abrutis ! » Ton sang-froid est totalement perdu. Elle te ment ! Elle te traite d'abruti ! Elle te cherche ! Elle va en payer le prix fort. Tu la pousses à ton tour avec violence. Elle se retrouve coincé contre le mur le plus proche et tu laisses se déverser sur elle toute ta colère. Ta main atterrit avec une force infinie sur son visage de princesse. « Salope ! » Ce mot est sorti tout seul. Tu ne le pensais pas vraiment mais sur le moment, c'était ce qui t'était venu parce qu'elle t'avait menti, parce qu'elle avait mal agi. Ta main vint se placer sur son visage avec le même manque de délicatesse qu'auparavant. Tu serrais son petit minois parce que tu voulais lui faire autant de mal qu'elle ne t'en avait fait. « Six mois ! Hein t'espérait quoi ! Qu'un jour on oublie le préservatif ! Ou tu fais des trous dedans pour augmenter tes chances ! Parce que tu crois qu'un enfant va changer quoi ! Les menteuses ne font pas des bonnes mères ! Mais c'est vrai que je ne peux pas comprendre parce que je ne suis rien de plus qu'un abruti ! » Ton sang ne fait qu'un tour et tu la pousses au sol. Parce que lui faire mal est l'unique moyen que tu as trouvé pour calmer le bouillonnement dans tes tempes. « Tu as cru quoi ! Que je serais aux anges d'apprendre que tu veux me faire un enfant dans le dos ! Je ne veux pas de gosses et surtout pas avec une salope sans scrupule. » Tu la laissas là, au sol, tu avais besoin de te changer d'air et tu avais quitté la pièce à la recherche de tes clés de voiture. Il fallait que tu partes pour te calmer, pour oublier à quel point elle venait de te détruire...
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MessageSujet: Re: love the way you lie (ARTHUR/AZENOR)   love the way you lie (ARTHUR/AZENOR) EmptySam 2 Fév - 19:41

love the way you lie.

Tu le vois dans ses yeux, tu sais que tout est finit pour toi, tu l'as mis hors de lui, après tout tu l'avais bien cherché non ? Deux personnes qui s'aiment ne sont-elles pas sensées fonder une famille, tes idéaux sont stupides, des rêves de gamines, dans la vraie vie ça ne se passe pas toujours comme dans les contes pour fillettes. Il te projettes presque contre le mur sans que tu aies le temps de comprendre ce qu'il t'arrive, une gifle, serais-ce un coup plus violent ? Tu ne sais pas, tu ne sais plus mais tu l'as bien sentis passé, tu as même sentis ton cœur se serrer quand il t'as injuriée, ta gorge s'est serrée parce que tu as compris ce qu'il se passait, tu as réaliser Il a saisit ton visage entre ses doigts, il t forçait à le regarder alors que te yeux s'emplissaient de larmes, comment avez-vous put en arriver là ? Tu te débats pendant qu'il te sermonnes mais rien n'y fait, il est trop fort. La colère et la tristesse se mélangent, ces sentiments prennent le contrôle de toi mais ta fierté te supplie de ne pas pleurer d'avantage, ce serait trop de plaisir pour monsieur. « Six mois ! Hein t'espérait quoi ! » et à chaque fois qu'il hausse le ton tu ne peu t'empêcher de sursauter légèrement, c'est un réflexe parce que tu te demandes quand est-ce qu'il se remettra à te cogner. « Qu'un jour on oublie le préservatif ! Ou tu fais des trous dedans pour augmenter tes chances ! » ta gorge se serre et tu murmures un : « arrête... » mais il continu, il ne semble pas prêt de s'arrêter. « Parce que tu crois qu'un enfant va changer quoi ?! » ton visage se décompose à chacun de ses mots et ça te blesse, ton cœur est sur le point d'exploser, comme lui, comme toi. « Les menteuses ne font pas des bonnes mères ! » tu détournes le regard, baissant ton visage mais il te force de nouveau à le fixer, tu as envie de hurler « tais-toi » gémis-tu mais à quoi bon ? « Mais c'est vrai que je ne peux pas comprendre parce que je ne suis rien de plus qu'un abrutis ! » et avant même la fin de sa phrase tu gémis, tu t'en veux. Il y arrive toujours, il réussit toujours à te faire culpabiliser mais après tout n'a-t-il pas raison ? Tu es une menteuse, il fait tant d'efforts pour toi, il a même accepter de venir vivre ici, il a accepté de changer et tout ça pour toi et comment lui rends-tu cela, tu lui mens, tu n'est pas franche avec lui, tu as honte, tu t'en veux et tu pardonnes presque ces coups parce que tu comprends. Il te jette au sol et tu fonds en larmes, tu viens t'écraser contre le sol en criant, tu es en colère, tu te déteste et dans le fond tu lui en veux de te traiter de la sorte. Mais il t'attaque de nouveau, tu aurais mieux fait de te taire, tu aurais dû lui dire la vérité dès le début après tout. « Tu as cru quoi ?! Que je serais aux anges d'apprendre que tu veux me faire un enfant dans le dos ! » tu baisses la tête un instant, tu lui donnerais presque raison « Je ne veux pas de gosses et surtout pas avec une salope sans scrupule. » tu essuies rageusement tes joues, le mot de trop, tu sèches les larmes qui ont eue l'audace de couler sur tes joues et tu lèves les yeux vers lui. Tu as sursauté quand il a de nouveau prononcer cette injure, ce mot qui te fais si mal, n'est-il pas sensé t'aimer et te respecter. Az', réveille-toi ma belle. Il quitte la salle en trombe, te laissant là, seule sur le sol. Tu n'as pas laissé deux minutes se passer que tu partais déjà en quête de ton homme, bien remonté de la sorte, tu savais parfaitement qu'il en faudrait beaucoup pour le calmer mais tu ne comptais pas le calmer et encore moins le laisser te parler ainsi, ni même se comporter comme ça avec toi, putain tu l'aimes plus que ta propre vie. Tu ressens la douleur des coups qu'il a porté envers ta personne mais ça ne compte pas vraiment, dans ton état tu es presque incapable de sentir la douleur, mais ça viendra demain, peut-être même plus tard dans la soirée. Tu te rends dans l'entré et tu vois qu'il a enfilé son manteau, clés de voiture en main alors tu t'arrêtes un instant pour regarder la scène. Puis tu te précipites vers lui pour le plaquer contre la porte d'entré et tu frappe son buste de toutes tes forces, tu gémis, tu grognes presque, tu lui en veux. « Putain ! » hurles-tu à plusieurs reprises, tu le gifles et tu l'envoies valser du côté du salon, tu ignores même d'où t'es venue cette force, sans doute de la rage. « Les gens qui s'aiment ils font des concessions ! » tu chopes le premier objet qui se trouve près de l'entré du salon – un vase en cristal – que tu jettes en sa direction « Les gens qui s'aiment ils font des enfants ! » tu hurles plus fort, si fort que ta voix part dans des tons stridents, tu trembles, ton cœur s'emballe et tu lui jette à la figure tout ce qui te tombes sous la main. Si tu le pouvais tu te ruerais sur lui et le rouerais de coups, tu ne sais pas ce qui t'en empêche parce que tu n'as plus peur de t'en manger une maintenant. Tu t'approches de lui et le saisit par le col, il fait plus d'une tête de plus que toi mais ça t'es égal de devoir lever les yeux vers lui, si tu pouvais tu lui cracherais à la figure « Tout ce que je voulais moi c'est que tu sois heureux ! » tu éclates en sanglots « Mais allez, vas, vas-y retournes te saouler dans ton bar, va passer le temps puisqu'il semblerait que moi, je ne te suffise plus... » tu te racles la gorge et tu recule de quelques pas, tu tournes set fois ta langue dans ta bouche avant de terminé par : « T'es vraiment qu'un minable. » des mots que tu ne penses pas, rien que pour ça tu t'en veux déjà. Tu veux le faire réagir, tu ne veux pas le voir partir et la seule manière que tu as trouvé pour le faire rester près de toi c'est de le blesser.

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